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Bach Haendel
Sonates pour flûte à bec et basse

Christian Mendoze, flûte à bec alto • Corinne Bétirac, clavecin
 Philippe Foulon, basse de viole de gambe Charles-Edouard Fantin, guitare et archiluth

POL 404 168

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  Haendel

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Georg-Friedrich HAENDEL ( 1685 -1759 )
Sonate Fitzwilliam n° 3 en Fa Majeur
Sonate Fitzwilliam n° 1 en Si bemol Majeur 

Sonate opus 1 n° 4 en La mineur 

Sonate opus 1 n° 7 en Ut Majeur 

Sonate opus 1 n° 11 en Fa Majeur

Johann-Sebastian BACH ( 1685 - 1750 )
Sonate en Fa Majeur BWV 1035
Sonate en La mineur BWV 1020
Sonate en Fa Majeur BWV 1031

   
         
   
SONATES POUR FLÛTE A BEC ET BASSE

Travailleur infatigable, animé d’un besoin presque impérieux de créer, virtuose éblouissant sur l’orgue et le clavecin, Haendel qui se fixera définitivement en Angleterre, pour toujours attaché à la création de l’oratorio anglais, est né à Halle, au coeur de l’Allemagne. Grand voyageur, il découvrit d’abord avec fascination l’Italie et la musique de Corelli, et du fait de ses innombrables voyages, il a hérité tout à la fois de Corelli, de Lully, de Purcell, et affirmé sa parfaite connaissance des types italiens, allemands, anglais et français. Brassage de toutes ces influences, son art élégant, mesuré où s’allient et se conjuguent la vigueur et le charme italien, a fait de Haendel un lien entre les grandes écoles européennes.
C’est donc en Angleterre où il débarqua en 1710 pour diriger les représentations de son opéra Rinaldo créé avec un immense succès au Haymarket en février 1711, que Haendel déroula la plus grande partie de sa carrière. Malgré de violentes oppositions de rivaux moins heureux et de lourdes difficultés financières, il a su se mêler totalement à la vie musicale anglaise teintée d’italianisme, car depuis la mort de Purcell, aucun compositeur britannique ne s’était réellement affirmé malgré la richesse de la vie musicale outre-Manche. Auparavant, un séjour à Hambourg, "la Venise de l’Allemagne" disait Romain Rolland, l’un des centres musicaux les plus riches de l’Allemagne, avait permis à Haendel de découvrir et de se familiariser avec l’opéra italien. "Nulle part ailleurs en Allemagne, on n’estimait autant la musique", avait ajouté Romain Rolland. Les Anglais qui ont fait de Haendel une de leurs gloires nationales, lui ont accordé la nationalité britannique. Il fut d’ailleurs inhumé solennellement à l'Abbaye de Westminster.
Œuvres de jeunesse pour la plupart, les quinze sonates de l’op.1 ont d’abord été éditées en 1722 chez Jeanne Roger, à Amsterdam, sous le titre de Sonates pour un traversiere un violon ou hautbois con basso continuo, et reprises à Londres en 1732 dans leur édition définitive avec quelques modifications et l’adjonction de trois sonates supplémentaires, comme Sonatas or Solos for a german flute, or hoboy or violin, with a thorough bass for the harpsichord or bass violin. Elles sont accompagnées d’une basse chiffrée que l’exécutant pourra élargir selon sa volonté et selon les indications du compositeur, Haendel ne se donnant d’ailleurs pas toujours le soin de chiffrer sa basse. La basse continue est ici tenue par un clavecin, une basse de viole de gambe et alternativement par un archiluth et une guitare baroque.
Qu’elles soient écrites pour flûte, hautbois ou violon, ces sonates restent très marquées par l’influence italienne, mais avec ce charme direct où l’on reconnaît bien la vitalité haendelienne. Équilibre entre les parties supérieures et la basse, le dialogue des deux instruments se développe avec quiétude ou animation, en toute clarté, soutenu par l’harmonieuse sonorité des instruments accompagnateurs, la basse réalisée à l’orgue, au violoncelle, au luth, à la guitare, au clavecin, à la basse de viole. Les sonates de l’op.1 ne sont sans doute pas des œuvres majeures dans la production de Haendel, mais attentif aux moindres nuances pour donner à chaque pièce un ton bien particulier, celui-ci nous livre là une musique qui détend sans grandiloquence et sans concession. Les mouvements vifs ont des allures de concerto italien avec leurs traits souples, volubiles ou espiègles se répercutant à la basse en dessins imitatifs. Bref ou développé, le mouvement lent peut être très dépouillé, ce qui appelle des embellissements qui viennent enrichir la ligne mélodique.

Exactement contemporains, Haendel et Bach sont nés tous deux en 1685, mais si le brillant Haendel fut constamment à la recherche du succès, de la fortune et de relations illustres, Bach, au contraire, resta plus discret, homme de foyer sans dépendances mondaines.
On ne connaît ni la date exacte, ni les dédicataires de la plupart des sonates pour flûte de Bach. On admet néanmoins communément qu’elles auraient pu voir le jour dans les années 1715- 1725, soit entre la fin de son séjour à Weimar, l’un des plus féconds de son existence, et le début de son installation à Leipzig, dernière étape de sa carrière, au cours de laquelle, insensible à l’ivresse fugace de la gloire et aux tapages de la célébrité, il composa des chefs-d’œuvre incomparables par leur richesse et leur abondance. Ces sonates ont peut-être été écrites pour le flûtiste français Pierre-Gabriel Buffardin, musicien de l’Électeur de Saxe jusqu’en 1749, réputé pour sa dextérité, qui fut également le maître de Joachim Quantz et de Johann Jakob Bach, frère préféré de Jean-Sébastien. La plupart des autographes de ces partitions sont perdus, mais on les connaît grâce aux copies, et certaines sont attribuées aujourd’hui à Karl Philip Emanuel Bach.

Les sonates pour flûte de Bach ne sont pas des œuvres austères, mais gracieuses et aimables, et représentent l’un des aspects les plus souriants du compositeur. Néanmoins, ce ne sont pas des pages faciles, car si Bach est souriant, il n’est jamais complaisant. Ces sonates ont été écrites à une époque où la flûte à bec se voyait peu à peu supplantée par la traversière. Bach a d’ailleurs utilisé les deux flûtes (la flûte à bec dans le 4e concerto brandebourgeois par exemple). Christian Mendoze interprète ici les trois sonates un ton plus haut que les originaux afin d’adapter chaque œuvre à la tessiture de la flûte à bec moins étendue que celle du " traverso " baroque, afin que toutes les notes soient jouables, ce qui représente en quelque sorte un défi technique. On conteste souvent à Bach la paternité de la Sonate BWV 1020 plus volontiers attribuée à KPE Bach et probablement destinée à l’origine au violon. Les deux instruments y sont traités à égalité dans un esprit véritablement concertant, chacun ayant son thème propre. Tous deux tissent un dialogue ininterrompu dans l’Allegro avec de légères variantes dans la reprise des thèmes. La longue cantilène implorante du mouvement central sur le balancement régulier de son rythme à 9/8 conduit au finale joyeux et plein d’entrain. De même la Sonate BWV 1031 avec clavecin obligé, paisible et lumineuse, est conçue comme un concerto. C’est un solo de clavecin qui ouvre le premier mouvement tandis que la flûte brille de traits de virtuosité. Le célèbre épisode médian prend la forme d’une sicilienne agrémentée de quelques imitations canoniques, et tout se conclut sur un Allegro heureux dans lequel flûte et clavecin se poursuivent inlassablement. Quatre mouvements composent la Sonate BWV1035 dédiée au flûtiste amateur Michael Gabriel Fredersdorf, confident du roi Frédéric II de Prusse, grand amateur de musique, excellent flûtiste, et compositeur à ses heures qui en 1747, accueillit solennellement le vieux Bach, trois ans avant sa mort. Contrairement aux sonates précédentes, celle-ci s’ouvre sur un adagio ma non troppo aux dessins d’ornementation spectaculaires. Alerte et joyeux, l’Allegro qui suit sur son ryhme de rigaudon rappellera l’art d’un François Couperin. Une Sicilienne à l’écriture canonique mène au finale intensément mélodique. Tout dans cette œuvre prouve que rigueur et imagination sont les deux pôles de la musique de Bach, qui ne rompent jamais l’équilibre.

Adélaïde de Place




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He was a tireless worker, driven by an almost imperious need to create, a dazzling virtuoso on the organ and harpsichord - Handel was born in Halle, in the heart of Germany, and was permanently attached to the creation of the English oratorio. A great traveller, he first discovered with fascination Italy and the music of Corelli, and because of his countless trips, he inherited both Corelli, Lully, Purcell, and affirmed his perfect knowledge of the Italian, German, English and French types. His art was a mixing of all these influences, elegant and measured, where Italian vigor and charm combine. His art has made Handel a link between the great European schools.
Handel spent most of his career in England, where he landed in 1710 to conduct the performances of his opera Rinaldo, created with immense success at the Haymarket Theatre in February 1711. Despite violent opposition from less fortunate rivals and severe financial difficulties, he was able to mingle totally with English musical life tinged with Italianism, because since Purcell’s death, no British composer had really asserted himself despite the richness of musical life across the Channel. Previously, a stay in Hamburg, "the German Venice" as Romain Rolland called it, one of the richest musical centres in Germany, had enabled Handel to discover and become familiar with Italian opera. "Nowhere else in Germany was music valued more," Rolland added.
The English, who made Handel one of their national glories, granted him British citizenship. He was also solemnly buried in Westminster Abbey.
Works of youth for the most part, the fifteen sonatas of the op. 1 were first published in 1722 by Jeanne Roger in Amsterdam, under the title Sonatas for a traversiere a violin or oboe con basso continuo and repeated in London in 1732 in their final edition with some modifications and the addition of three additional sonatas, such as Sonatas or Solos for a German flute, or hoboy or violin, with a thorough bass for the harpsichord or bass violin. They are accompanied with an encrypted bass that the performer can expand according to his will and according to the indications of the composer, even though Handel does not always give himself the care to quantify his bass. The continuous bass is held here by a harpsichord, a viola gamba bass and alternately by an archlute and a baroque guitar.
Whether written for flute, oboe or violin, these sonatas remain very marked by the Italian influence, but with this direct charm where one recognizes the Handelian vitality quite well. Being a balance between the upper parts and the bass, the dialogue of the two instruments develops with tranquility or animation, in all clarity, supported by the harmonious sonority of the accompanying instruments: the bass realized on the organ, the cello, the lute, guitar, harpsichord, viola bass. The sonatas of the op. 1 are probably not major works in the production of Handel, but because he is attentive to the slightest nuances to give each piece a particular tone, he delivers us a music that relaxes without grandiloquence and without any concession. The lively movements resemble an Italian concerto with their supple, voluble or playful strokes echoing on the bass in imitative drawings. In short or developed, the slow movement can be very bare, which calls for embellishments that enrich the melodic line.
Exactly contemporary, Handel and Bach were both born in 1685, but while the brilliant Handel was constantly in search of success, fortune and illustrious relations, Bach, on the contrary, remained more discreet, a stay-at-home father without worldly dependencies.
We do not know the exact date, nor the dedication of most of Bach’s flute sonatas. It is nevertheless generally accepted that they could have been born in the years 1715-1725, between the end of his stay in Weimar, one of the most fruitful of his existence, and the beginning of his installation in Leipzig, the last stage of his career, during which, Bach, insensitive to the fleeting intoxication of glory and the fuss of celebrity, composed incomparable masterpieces as regards their wealth and abundance. These sonatas may have been written for the French flutist Pierre-Gabriel Buffardin, musician of the Elector of Saxony until 1749, renowned for his dexterity, who was also the master of Joachim Quantz and Johann Jakob Bach, Johann Sebastian’s favorite brother. Most of the autographs of these scores are lost, but they are known through copies, and some are today attributed to Karl Philip Emanuel Bach.
Bach’s flute sonatas are not austere, but graceful and kind works, and represent one of the composer’s most smiling aspects. Nevertheless, these are not easy pages, because if Bach is smiling, he is never complacent. These sonatas were written at a time when the recorder was gradually supplanted by the ferry. Bach also used the two flutes (the recorder in the 4th Brandenburg concerto for example). Christian Mendoze here interprets the three sonatas in a higher tone than the originals in order to adapt each work to the range of the recorder, itself being less extensive than that of the baroque "traverso", so that all the notes will be playable, which is kind of a technical challenge.
Bach is often questioned about the authorship of the BWV 1020 Sonata more readily attributed to KPE Bach and probably originally intended for the violin. The two instruments are equally treated here in a truly concerted spirit, each with its own theme. Both weave an uninterrupted dialogue in the Allegro with slight variations in the resumption of themes. The long, heartfelt cantilena of the central movement, on the regular swing of its rhythm at 9/8 leads to the joyful and lively finale. Similarly the Sonata BWV 1031 with obligatory harpsichord - a peaceful and bright piece - is conceived as a concerto. It is a harpsichord solo that opens the first movement while the flute shines with virtuosity. The famous middle episode takes the form of a Sicilienne embellished with some canonical imitations, and everything concludes on a happy Allegro in which the flute and the harpsichord continue tirelessly.
Four movements make up the Sonata BWV 1035 dedicated to the amateur flutist Michael Gabriel Fredersdorf, confidant of King Frederick II of Prussia, himself a great music lover, excellent flutist, and composer in his time, who in 1747 solemnly welcomed old Bach, three years before his death. Unlike previous sonatas, this one opens on an Adagio ma non troppo with spectacular ornamental drawings. Alert and joyful, the Allegro that follows on its rigaudon rhythm will recall the art of a François Couperin. A Sicilienne with a canonical writing leads to the intensely melodic finale. Everything in this work proves that rigor and imagination are the two poles of Bach’s music, which never break its balance

translation Marie-Jeanne Gambini





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Christian Mendoze, après une belle carrière d’artiste chorégraphique (danseur étoile des ballets d’Avignon, Dijon, Limoges, Liège), fonde l’ensemble Musica Antiqua en 1981, qui prendra le titre de Musica Antiqua Mediterranea. Il enregistre son premier disque en 1984 couronné par le Grand Prix de l'Académie du Disque remis par le Ministre de la Culture en Décembre 1985 et présenté à France Musique en 1986.
C’est le début d’une grande carrière pour C.Mendoze, notamment en tant que soliste (flûte à bec) de plusieurs orchestres de renom : Ensemble Baroque de Nice, Ensemble Concerto Köln (Allemagne), Orchestre de
Vicenza (Italie), Ensemble Baroque de Cracovie (Pologne).
Il donne également de nombreux concerts en France et en Europe, (Midem International de Cannes, la Salle Gaveau, le Festival International d’Art Lyrique d’Aix-en-Provence, le Festival du Palais Mateus (Portugal), le Théâtre du Châtelet à Paris etc..). Plus de 1000 concerts au total. Parallèlement, C.Mendoze enregistre une cinquantaine de disques dont plusieurs obtiennent des prix internationaux ( Prix Radio Suisse International, Recommandé de Classica, Must de la revue Compact Disc Magazine). Il est par ailleurs sollicité pour créer plusieurs festivals en France : Festival de Musique de Toulon, Festival Baroque de Callas, Festival d’Avignon Festival Baroque de Hyeres, Festival d’Automne de Signes et est fréquemment invité par les radios et télévisions (France 3, France Musique, Radio Suisse Romande, BBC, Radio Bratislava, RTL, RMC).
Reconnu comme l’un des meilleurs flûtistes virtuoses, il est également le disciple du Maestro Giovanni Bria (assistant du Maestro Karl Böhm à Bayreuth) pour la direction d’orchestre. En parallèle, C. Mendoze, pédagogue renommé, a notamment enseigné au Conservatoire National d’Aix-en-Provence, au Conservatoire de Valbonne ou lors de stages internationaux.
Enfin, il est Président de l’Association Art et Musique en Méditerranée, structure axée sur le développement de l’orchestre Musica Antiqua Mediterranea et ses partenaires (médias, festivals, projets pluridisciplinaires).
Chrsitian Mendoze joue une flûte à bec alto Li Virghi ( copie Stanesby junior ).

Après avoir poursuivi des études approfondies de clavecin et d'histoire de la musique aux conservatoires de Lyon et d'Annecy, Corinne Bétirac obtient une médaille d'or à l'unanimité en clavecin dans la classe de Georges Kiss. Également titulaire du Diplôme d'État d'lnstruments Anciens, elle partage depuis lors ses activités entre l'enseignement, l'accompagnement et la musique d'ensemble.
Fille de jazzman, Corinne Bétirac a vécu sa jeunesse dans un environnement de jazz pour lequel elle a gardé un grand attrait, et son répertoire s'étend de la musique du XVIème siècle jusqu'à la musique contemporaine. Elle se produit régulièrement sur la scène internationale (Europe, États-Unis) en tant que concertiste au clavecin ou à l'orgue et participe à divers festivals : Casa Matheus au Portugal, Magnano en Italie, Festival de Sankt Gerolden Autriche, Festival de Sion en Suisse. Corinne Bétirac collabore également, en France, avec les ensembles : Musica Antiqua Provence, l'Ensemble Georges Kiss, les Festes d'Orphée. Avec ces ensembles, elle participe à différents enregistrements, notamment les Concertos à un ou plusieurs claviers de Jean Sebastien Bach (Plein Jeu), Les Folies d'Espagne, Les Danses de Hongrie (Intégral Classic).

Philippe Foulon, violiste violoncelliste obtient un Premier Prix au Conservatoire Royal de Bruxelles auprès de Wieland Kuijken avec lequel il se produit régulièrement en duo de violes Il cofonde l'Ensemble Baroque de Limoges avec J.M Hasler et les Musiciens du Louvre avec Marc Minkovski. Il a collaboré avec les Arts Florissants de William Christie et la Grande Écurie et la Chambre du Roi de J.C Malgoire, l’Ensemble Mateus dirigé par Jean-Christophe Spinosi et a enregistré une centaine de disques en soliste et avec
différents ensembles. Philippe Foulon collabore depuis de nombreuses années avec l’ensemble Musica Antiqua dirigé par Christian Mendoze , qui l’a invité pour de nombreux projets.
Il est aussi est fondateur du Lachrimae Consort avec lequel il ressuscite des instruments à cordes sympathiques, comme les violons d’amour, les violes et violetta all’inglese, ainsi que les lyra viols anglaises. L’ensemble Lachrimae Consort et le contre ténor Rachid Ben Adelslam reçoivent en 2012 l’Orphée d’Or de l’Académie du disque Lyrique décerné pour l’album El jardín oscuro Chants d’orient et d’occident. Il est professeur titulaire aux Conservatoires Charles Munch et Claude Debussy de Paris, de viole de gambe, violoncelle baroque et baryton à cordes et donne régulièrement des masterclasses au Conservatoire Royal Supérieur de Madrid en viole de gambe, violoncelle baroque.
Philippe Foulon joue une basse de viole de gambe (de François Bodart, 1994 d'après un modèle de Joachim Tielke, 18e siècle).

Après avoir commencé ses études musicales en classe de guitare à Annecy, Charles-Edouard Fantin a obtenu un 1er prix au Conservatoire Supérieur de Musique de Lyon en luth en 1997. Depuis il continue une carrière de soliste et de continuiste au luth, théorbe, archiluth et guitare baroque avec les plus grands ensembles de musique baroque, au cours de
multiples concerts en France et à l'étranger. Il a également enregistré plus de 50 disques avec une quarantaine d'ensembles de musique ancienne.
Il est depuis 2000 professeur de luth/théorbe/basse continue au CRR de Paris, et depuis 2013 au CRR d'Annecy. Grand fan de musique du monde, il joue également en concert des arrangements de jazz et de pop à l’archiluth et de la musique sud américaine au charango.
Il joue un archiluth de Paul Thomson (2013) et une guitare baroque (Philippe Mottet Rio, 2013).









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