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Lucien Guérinel : solos, duos et quatuor
Frédéric Berteletti, flûte • Laurent Fléchier, clarinette • Nicolas Prost, saxophone • Guillaume Lachambre, cor • Sylvain Durantel, alto • Eric-Maria Couturier, violoncelle • Jérémie Maxit, marimba • Jean-Louis Roblin, piano & orgue • Jean-Jacques Boutin, récitant • Duo Palissandre, Guitares • Quatuor Fenris, quatuor à cordes • Jacques Merrer, clarinette 

double cd

POL 505 169

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Lucien Guérinel

Historiette 3 (1995) pour flûte en sol

Reflets de l'aube (1996) pour clarinette en Si bémol

Mon an mil (2010) pour Saxophone baryton (et voix)

Clameurs (2001) pour cor

Voix (1990) pour alto

En sa nuit close (2006) pour violoncelle

Interlude (1990) pour orgue

Appels (1994, révision 2011) pour vibraphone

L'éloge du souffleur (2011) pour piano et récitant

Par la voix bleuie (1995) pour deux guitares

6ème quatuor, sous-titré L’accord (2020) pour quatuor à cordes

Correspondances VI (2017) pour petite clarinette et quatuor à cordes



 
 

Né en 1930 Lucien Guérinel passe son enfance en Tunisie. Il obtient un doctorat scientifique à Marseille en 1954, ce qui ne l'empêche pas de se consacrer parallèlement à la composition et reçoit les conseils du chef d’orchestre André Jouve (harmonie) et du compositeur Louis Saguer (composition).
Son catalogue comprend plus de 150 opus ; la plupart des genres y sont abordés, avec 45 partitions faisant appel à la voix, notamment deux opéras.
La plupart de ses œuvres ont été créées en France, dans une quinzaine de pays étrangers et plus d'une vingtaine a fait l'objet d'une édition phonograhique, ce qui a valu à l'ensemble de son oeuvre de recueillir les meilleures critiques.
Il écrit des musiques de scène et compose également des musiques de films (pour la télévision et pour le cinéma). Il a par ailleurs publié plusieurs recueils de poèmes (La Parole échouée, La Sentence nue, Acte de présence, L'eau des pierres, Le long du vent, avec des illustrations de Nicole Chevalier-Pitard ; des textes accompagnant les photographies de Philippe Le Bihan (Nuptiales, Un pas de plus), deux monographies (Le lac et le bosquet, préface de Jean Gallois, entretiens avec Jean Roy et Marcel Marnat, Cig'art Edition), Vents croisés, entretiens avec Philippe Torrens, Editions Adam Musicae, 2017.


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L’instrument : solitude ou origine ?
A l’origine était la voix, l’instrument in corpore sano...
La grande aspiration des hommes fut de l’accompagner. Mariage instinctif, mais tardif. Solitaire, prééminente, la voix a été la réponse première aux joies comme aux inquiétudes des hommes. Le verbe, le cri, le chant. Les oiseaux, qui sait ? ont peut-être été les maîtres. Mais les hommes, maîtres de l’invention, allaient trouver leur chemin, au-delà des balbutiements. S’il n'y pas eu encombrement dans l’édition discographique, il n’en reste pas moins que les temps modernes ne se laissent pas aller à la distraction. On ne peut pas n’avoir que des défauts. Les quelques voix que contient ce coffret, d’ailleurs associées à ce parangon qu’est le quatuor à cordes, osent faire acte de présence ici, souvent dans l’évocation de deuils, mais encore d’appels, cette réalité qui exprime bien notre condition de solitaires, malgré le tohu-bohu du monde. Et j’ai la chance d’avoir rencontré des solistes qui s’ouvrent librement, dans leur voie intime, à la voix non accompagnée.
J’ai même rencontré un jour, un saxophoniste, Nicolas Prost, qui me demanda d’écrire pour lui une pièce où il jouerait et parlerait à la fois ! Devant ma stupéfaction, il me rassura : "N’ayez crainte, écrivez, je m’en débrouille !" Du coup, mon petit poème se termine par "J’ai mille ans aujourd’hui ! "
Lucien Guérinel


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Sont réunies ici, autour de deux pièces principales pour quatuor à cordes, dont l’une fait intervenir une petite clarinette en soliste, des pièces pour instruments seuls, relativement rares dans les programmes discographiques parce qu’elles réduisent d’autant la curiosité d’un public naturellement porté vers "les grands espaces" ou alors par la musique de chambre et, il va sans dire, par la musique de piano seul, qui reste l’étoile polaire...
Mais l’instrument seul n’en reste pas moins le globule du sang musical, et le timbre, son essence même. C’est pourquoi j’ai souhaité, sur le grand tard, rassembler un certain nombre de ces compositions dont je dois l’interprétation à des musiciens qui n’ont pas forcément l’occasion d’une gravure discographique. Je ne dirai que quelques mots de chacune d’elles, soit sur leur circonstance soit sur leur contenu.


Historiette 3 (1995) pour flûte en sol fait partie d’un ensemble de trois pièces, pour chacune des trois flûtes, titrées Historiettes, au regard de leur brièveté mais surtout par goût pour ce mot, désaffecté depuis le XVIIème siècle où Tallemant des Réaux avait titré ainsi ses petites histoires, aussi charmantes que leur titre.
Celle-ci est donc bien distincte des deux autres en raison de son timbre tout particulièrement porté à la rêverie ; elle n’est pas pour autant immobile, le mouvement vital qui lui revient de droit en témoigne, me semble-t-il. Pièce créée en 1997 à Istres par Jean-Louis Beaumadier.

Reflets de l’aube (1996), pour clarinette en si bémol. Un aller, un retour (miroir) et, au centre, une manière de chanson, familière mais moins remuante--pont.

Mon an mil (2010) pour saxophone-baryton (et voix), écrit pour Nicolas Prost, sur un poème de bonne humeur (ce qu’il m’arrive d’écrire, aussi) et qu’il a souhaité lui-même en ce sens, où j’ai découvert son habileté et, donc, sa belle humeur. J’ai profité, en l’occurrence, de ses conseils pour que cela réponde bien à ma petite pochade.

Clameurs (2001) pour cor se veulent comme un écho aux vibrants poèmes du portugais Antonio Ramos Rosa (traduits par Michel Chandeigne, Editions LETTRES VIVES 1993, collection Terre de Poésie.) L’incipit des trois poèmes choisis est dit avant chacun d’eux. Cette partition a été écrite pour le Festival de Cuivres en Dombes en 2001 et créée par le canadien Louis-Philippe Marsollais au Parlement de Trévoux.

Voix, pour alto (1990), créée par Laurent Verney, vaste pièce en cinq parties, écrite à la mémoire de Denis Estignard-Bluard, un jeune parisien qui était venu s’installer à Marseille, et que l’on rencontrait dans tous les concerts... Etre délicat, raffiné, qui mourut dans la trentaine. De cette émotion vive, j’ai tenu à laisser une trace, par l’alto, qui pût être à sa mesure. La seule "voix " chantante, au sens traditionnel du terme, est la troisième (ajoutée en 1992), les autres étant comme une protestation.

En sa nuit close (2006) pour violoncelle, créée par Luc Tooten. Autre pièce de deuil, écrite à la mémoire d’un pianiste (Benjamin Rawitz), qui vivait à Bruxelles, où il fut...assassiné. L’instrument va dans l’espace en larges traversées, oscillantes, obstinées, sans autre pouvoir. Mais la mort ne peut éteindre un instrument. C’est toujours lui qui a le dernier mot.

Interlude, pour orgue (1990) créée par Philippe Gueit, est encore une pièce de l’affliction : mort d’une jeune fille qui allait pourtant vers la médecine, et qui fut emportée à vingt ans par une maladie mystérieuse. Le son de sa voix me reste, téléphonique (notre fils étant un camarade de faculté), fragile, sans défense, angélique. La musique, ici, ne va que de la seconde mineure à la seconde majeure.

Appels (1994, révision 2011), pour vibraphone. Cette pièce qui approche le quart d’heure essaie de rendre hommage à ce magnifique instrument, le recours au mot Appels étant significatif. On les entend comme tels, me semble-t-il, jusqu’à la conclusion, paisible et rêveuse, qui donne une réponse que chacun peut partager, ou non.

L’éloge du souffleur Duo (2011), poème de Zeno Bianu qui avait fait l’objet d’un concours de composition au conservatoire de Lyon (du moins parmi d’autres poèmes proposés), où je n’obtins rien. Je n’en ai pas moins conservé ma petite partition où le récitant est accompagné d’un piano. Exercice délicat, certes, mais dont j’espère qu’il réponde à la beauté de ce texte.

Par la voix bleuie Duo (1995) pour deux guitares, qui commença à être pour une guitare, où elle serait restée engloutie si je n’avais rencontré le Duo Palissandre, plus tard, au conservatoire de Saint-Maur : ce couple rayonnant me fit alors remarquer qu’il y en avait bien pour deux guitares, si je voulais obtenir l’effet espéré ! Songeant au célèbre vers de Corneille
Qui t’a rendu si vain
Toi qu’on n’a jamais vu les armes à la main,
je me suis remis à l’ouvrage, mais c’est tout de même à eux que je dois d’être parvenu à une partition jouable, sans qu’aucune note n’eût été ajoutée... En réalité, j’avais écrit cette pièce (pour une guitare) à l’intention d’une jeune nantaise, guitariste elle-même, que je n’ai jamais eu le bonheur de rencontrer, et qui avait consulté de grands guitaristes pour que ma pièce fût jouable ; et, plus tard, elle m’apprit qu’elle partait vers les Pyrénées, sans autre précision... Il m’est impossible d’oublier cette personne toute de grâce.

Les Quatuors
6ème quatuor, (2020) sous-titré L’accord parce qu’il est résulté de ma rencontre avec Patrice Boinet (à qui je l’ai dédié), éminent musicien qui enseigna l’écriture, le clavecin, l’orgue et le piano à Avignon et dans ces parages, puis qui est venu s’installer dans le Centre, ce qui lui vaut de belles responsabilités à Paray-le-Monial. Il est venu vers moi, un jour, m'offrant une des plus grandes amitiés de ma vie. Il se trouve qu’aimant aussi Wagner il m’a fait écouter l’enregistrement historique de Tristan et Isolde à Orange, il y a bien quarante ans, et que nous nous trouvions au même endroit ce soir-là ! De là m’est venue cette idée de lui écrire un bout de quatuor autour de cet accord célèbre du prélude de Tristan pour le remercier de son hospitalité et de sa confiance.
Je n’ai donc recherché aucune surprise dans ce quatuor, qui essaie seulement de ne pas déroger au climat qui m’avait bouleversé à l’âge de quinze ans...

Correspondances VI, (2017) pour petite clarinette et quatuor à cordes.
Cette pièce est une commande de Jacques Merrer, ex-petite clarinette solo de l’O.N. de Lille, qui était venu m’écouter quand j’avais reçu l’invitation de l’Ecole Nationale de Musique de Lille (par ailleurs exceptionnelle) à venir parler de mon parcours et entendre quelques élèves qu’elle avait préparé à jouer de mes partitions pour instruments solistes ou pour la voix.
Puis, la société qui est la nôtre ou, qui sait ?, le seul hasard, ont fait que la création a tardé et qu’elle devient discographique. Car entre temps j’avais eu le bonheur de rencontrer Jacques Merrer à Arras, toujours prêt à créer cette pièce qui lui est dédiée.
Comme les cinq pièces qui ont précédemment porté ce titre, celle-ci est un mini-concerto d’une quinzaine de minutes, dans la stricte condition de toute pièce concertante, mais où je me suis gardé de ne laisser place qu’à la virtuosité que sous-entend, depuis toujours, ce genre musical. Le terme générique de "Correspondances" répond simplement à cette intention.


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Frédéric Berteletti, flûtiste et ostéopathe, est né dans une famille de mélomanes amoureux des Arts. Pianiste dans son jeune âge, il suit parallèlement des études de percussion avant de se découvrir une passion pour la flûte traversière à l’aube de ses 17 ans. Initié par Philippe Bernold puis Michel Moragues, il est issu de la classe du maître Maxence Larrieu au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon d’où il sort diplômé en 1994. Il est depuis 2002 professeur de flûte au Conservatoire à Rayonnement Régional de Lyon. Il n’a cependant jamais cessé de se produire dans
divers orchestres et ensembles de musique de chambre. Il a notamment joué avec : Isabelle Moretti, Davitt Moroney, Raphaël Chretien, Xavier Gagnepain, Eric Crambs, Fabrice Lamarre, Fabien Thouand...

Clarinettiste hors-piste, déformaté du classique, activiste de la musique improvisée contemporaine et de l'électroacoustique, créateur et compositeur, Laurent Flechier a été formé auprès de Jacques Di Donato, alors professeur au CNSMD de Lyon. C'est l'attrait de l'inconnu qui le pousse toujours à explorer tous les objets sonores à sa portée (acoustiques, innovants, éléctroacoustiques, bricolages éléctroniques, voix, sets percussifs destructurés...).
La création, occupe toujours une place de choix principalement
avec #Flamduo, en duo avec Agnès Moyencourt, bassoniste, multi-
instrumentiste, manipulatrice de sons. Ou encore avec le collectif
Ligres, rencontre d’hybrideurs artistiques, où il mêle clarinette,
installations, et recherches sur l’image.
 Après des voyages réguliers sur place, et depuis le Saalek Orkestar,
 l'aventure de la musique balkan-orientale est devenue encore plus
présente et prend une nouvelle envergure avec le groupe Kafana,
musique de chambre des Balkans.

Nicolas Prost se plaît à associer musiques classiques et contemporaines à l’improvisation, la voix, le geste et l’électronique. En tant que concertiste, il joue des concertos avec les plus grands orchestres (l'Orchestre Philharmonique de Strasbourg, Orchestre du Capitole de Toulouse, Ausburg Camerata, London European Camerata, Bangkok, Montreal, l'Orchestre de la Suisse-Romande etc.). Saxophoniste solo de l'Orchestre des Concerts Lamoureux, il se produit comme chambriste sur les scènes internationales au sein des Ensembles Variances et Saxiana. Une riche discographie se voit
récompensée par la presse spécialisée. Son souci du développement du répertoire du saxophone est marqué par la création de plus d'une centaine d'oeuvres et sa collaboration avec des compositeurs de tous les horizons : Connesson, Escaich, Hersant, Pécou, Bacri, Ibrahim Maalouf, Michel Portal... Parallèlement, Nicolas Prost compose des pièces pour jeunes saxophonistes dont la méthode Saxophone Go ! Il est professeur au Conservatoire de St-Maur.

Né en Belgique en 1999, Guillaume Lachambre débuta les études de cor d’harmonie à l’âge de 6 ans dans la classe de Christian Durieux à l’académie de Gosselies. L’année suivante, il intégra l’ensemble instrumental de la ville de Thuin placé sous la baguette de son professeur. Cette expérience déterminante marqua la première étape d’un riche parcours musical : il participe régulièrement à des
master-classes données par des musiciens professionnels
jouissant d’une renommée internationale (André Cazalet, Javier
Bonet, Marie-Luise Neunecker, Froydis Ree Wekre, Christian
Lampert, David Guerrier, Jocelyn Willem, Bruno Schneider...), et
donne des concerts en Belgique et en France, à l’occasion desquels
il met en avant le répertoire classique et contemporain du cor. En
parallèle, Guillaume effectue depuis 2018 des études de droit dans 
des universités parisiennes réputées.

Sylvain Durantel a étudié l’alto avec Françoise Gnéri et Bruno Pasquier au CNSM de Paris, où il obtient les 1er Prix d’alto, de quatuor à cordes et de musique de chambre avant d’effectuer un cycle de Perfectionnement. Membre de l’Ensemble Monsolo (quatuor avec piano) et du Quatuor Alérion, il a effectué des remplacements dans de nombreux orchestres français, avant d’être nommé alto solo de l’Orchestre de Douai-Hauts de France, puis second soliste de l'Orchestre de l’Opéra National de Lorraine. Il a aussi participé à de nombreux enregistrements de disques consacrés à Onslow, Bach, Preschez...

Violoncelliste né en 1972 au Vietnam, Éric-Maria Couturier obtient les plus hautes distinctions durant ses études dans la classe de Roland
Pidoux, au Conservatoire Supérieur de Paris où il est aujourd’hui
professeur assistant. Artiste éclectique, passionné par tous les
styles de musiques, Éric-Maria Couturier, soliste de l’Ensemble
intercontemporain, a collaboré avec les chefs d’orchestre
Boulez, Sawallisch, Solti, Giulini, les compositeurs Kurtag, Eötvös,
Merlin, Fujikura, Saraariaho, Kurtág, Guérinel, Robin, les pianistes
Mauricio Pollini et Martha Argerich. Il est membre du Trio Talweg.

Diplômé des conservatoires régionaux de Tours, Boulogne- Billancourt et Saint-Maur-des-Fossés, puis du CNSMD de Paris, Jean-Louis Roblin aborde un répertoire s’étendant de la Renaissance à la création contemporaine, par la pratique du piano, de l’orgue et du clavecin. Il a enregistré l’œuvre complète pour piano de Lucien Guérinel.
Depuis 2000, il est chef de chant au CRR de Saint-Maur-des- Fossés et depuis 2022, il y enseigne l’accompagnement au piano.

À l'issue de ses études en percussions à la HEM de Genève où il obtient un diplôme de concert et un diplôme de pé- dagogie, Jérémie Maxit intègre différents groupes de musiques lui permettant de voyager à travers les esthétiques allant du jazz aux percussions contemporaines en passant par les musiques actuelles. Actuellement il enseigne les percussions et accompagne les classes de danses au CRR d’Annecy.

Après avoir suivi une formation d'art dramatique au Conservatoire du Xème arrondissement de Paris et à l'Esad ( Ecole Supérieure d'Art Dramatique de Paris ), Jean-Jacques Boutin joue différents auteurs classiques ( Molière, Marivaux, Claudel, Guitry, Tchekhov, Beaumarchais) à Paris et en tournées. Il joue également dans les CDN de Paris, Orléans et Bordeaux. Il suit aussi une formation en chant lyrique, en danse classique, danse baroque et escrime artistique. Par ailleurs Jean-JacquesBoutin est animateur Théâtre pour adultes dans les CPA (Centres Paris Anim.).

Le Duo Palissandre, formé des deux guitaristes Vanessa Dartier et Yann Dufresne, est l’un des plus fervents ambassadeurs français du répertoire pour deux guitares. Lauréat de plusieurs concours internationaux, le duo
est reconnu et apprécié pour son jeu brillant et sa sensibilité
musicale, il est invité à se produire en récital dans de nombreuses
programmations culturelles et festivals internationaux. Le duo
 Palissandre a enregistré plusieurs disques dont le dernier Mosaïque
dédié à la musique française est sorti en 2019 pour le label Paraty.
Soucieux de contribuer au développement du répertoire pour duo
de guitare, le Duo Palissandre crée régulièrement de nouvelles
œuvres : en 2022 trois nouvelles pièces des compositeurs Atanas
 Ourkouzounov, Lucien Guérinel et Philippe Kadosh.

Créé en 2012 au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon, le Quatuor Fenris est lauréat du concours Tremplin de la Philharmonie de Paris en 2016, ainsi que du concours international AEMC en Italie. Accordant une grande importance à la transmission auprès de toutes les générations, les quatre musiciens collaborent régulièrement sur des projets en écoles primaires et proposent des animations lors de festivals. Le Quatuor Fenris s’est déjà produit dans de nombreux festivals et salles comme Arpèges en Gascogne, Les chapelles Royans-Vercor, Sanary en Musique, Musique en l’Ile, Écoute la Nature, Mécénat Société Générale (château de Pierreclos), Université Musicale Hourtin Médoc, École Centrale Lyon, Goethe Institut Lyon, Prieuré de Chirens ou encore la prestigieuse grande salle de la Philharmonie de Paris.

Jacques MERRER, soliste clarinette mi bémol à l’Orchestre National de Lille pendant plus de quarante ans, a voyagé dans de nombreux pays et s’est produit dans les salles les plus prestigieuses. Titulaire du CA de clarinette, il est l'auteur de plusieurs ouvrages pédagogiques et a enseigné au Conservatoire
d'Arras. Remarqué par des compositeurs qui lui dédient des œuvres,
il enrichit le répertoire de la clarinette par de fréquentes créations
mondiales : récitals et master-classes en France, Russie, Mexique...
.Il est fondateur du Trio Arcade avec lequel il a enregistré plusieurs
CD. Son activité principale se concentre désormais sur la collection
qui lui a été confiée aux Editions I.M.D. . Il recherche sans cesse de
nouveaux talents parmi les compositeurs actuels tout en publiant dix
 volumes de traits d’orchestre pour la clarinette mi bémol (répertoire
 complet).


 



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